Du 14 au 21 décembre prochain, la ville de Koundara vibrera au rythme de la troisième édition du Festival des Arts du Badiar (Festab). En prélude à cette grandiose manifestation culturelle, les organisateurs ont fait le point sur l’événement, placé cette année sous le thème : *« Culture, vecteur de cohésion sociale ».
Selon le Commissaire général du Festab, le choix de Koundara s’inscrit dans une dynamique d’union entre les filles et fils de cette localité. L’objectif est de promouvoir une participation active au développement socioculturel de leur préfecture.
Présentant Koundara comme un carrefour reliant la République de Guinée à certains pays de la sous-région, Djibril Wagué a dénoncé certaines injustices. Il trouve inadmissible qu’un fils de Koundara puisse être victime de discriminations liées à son nom de famille, ou qu’on lui refuse l’accès à une carte d’identité ou à un passeport en raison de son patronyme.
« C’est face à tout
Pour atteindre cet objectif, les TH- leçons leçons leçons de programme un programme riche et, incluant :
- Le Badiar Cycliste Tour, organisé en collaboration avec la Fédération de cyclisme ;
- Un carnaval de la paix;
- Des panneaux un bordant des thématiques liées à la jeunesse ;
- Des prestations folkloriques des communautés communautés;
- Des prestations artistiques ;
- Des combats traditionnels de lutte;
- , sur l’électreur de l’hygiène.
Riche d’une diversité culturelle authentique, Koundara mérite d’être mis en lumière, pour sa richesse patrimoniale que celle des communautés qui composent. La préfecture des Télevés regorge de exceptionnelles que les organisateurs du Festab.
Cette année, la community mise à l’honneur est celle des Koniagui. Elleéra d’ accompagnée en treize autres communautés qui offre des prestations artistiques, témoignant d’un vivre-ensemble inédit.
Correspondant à Conakry, Guinée