Des chauffeurs, inquiets, témoignent de la pénurie réelle et des difficultés à se fournir en carburant à des prix exorbitant sur le marché noir. Moussa Camara, par exemple, a dû acheter 5 litres à 15 000 francs guinéens la nuit dernière pour assurer sa journée de travail. Il appelle les autorités à intervenir pour éviter une augmentation du prix du transport et une rupture complète de carburant à la fin de l'année.
La situation s'étend à la ville de Kindia, où l'accès au carburant est également difficile et coûteux.
La promesse de la SONAP de disponibilité du carburant n'est pas vérifiée sur le terrain. La pénurie, combinée à l'augmentation des prix sur le marché noir, inquiète la population et les transporteurs. Les autorités sont interpellées pour trouver une solution rapide.
La Rédaction Politique de Guineetimes.com